Il y a 200 millions de personnes dans le monde, mais nous ne voulons pas parler de chiffres, mais de leurs noms et de leurs histoires.
Nous connaissons leur souffrance. Le déracinement douloureux de son peuple et de sa famille, qui conduit à une profonde solitude. Les emplois précaires et mal payés qui poussent leur âme à crier justice. L'angoisse de ne pas voir leur situation juridique régularisée, se demandant pourquoi un être humain peut être illégal. La rencontre avec une culture qui pousse des questions auxquelles personne ne peut répondre. Le souvenir de la violence et de la pauvreté menaçant les paysages de leur enfance. Nostalgie d'un avenir meilleur qui tarde à venir.
Et nous connaissons leurs joies et leurs espoirs, ceux qui les font se lever chaque jour et avancer dans la lutte quotidienne.
0 commentaires